Pour trop de personnes, un « bonjour » sec et expéditif – ou pire, un simple « allô » – est un tribut bien suffisant payé à la politesse téléphonique. Pour d’autres, énoncer son nom ou le nom de la collectivité fait office de bonjour. Dans les deux cas, la mise en relation s’avère pauvre et sans chaleur. Parce que le téléphone n’est pas une façon très naturelle de se parler (voir point C), il est essentiel d’adopter un ton de voix agréable et de prendre le temps...