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Territoriaux : alors heureux ?

Article du numéro 436 - 01 février 2012

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Il fait encore bon vivre au sein de la FPT. Elle fournit à ses agents une qualité de vie au travail agréable. Mais la territoriale donne des signes de fragilité : la confiance dans l'avenir y est moins solide, la frustration sur la rémunération et sur la prise en considération du travail grandit. Les managers publics en prennent aussi pour leur grade : la qualité de leur management est clairement mise en cause.

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Globalement, les agents semblent heureux d'évoluer au sein de la fonction publique territoriale. Les notions de plaisir, de fierté et de sécurité y ont encore un sens et le regard porté sur la situation professionnelle est positif. Une position légèrement à contre-courant de ce qui existe dans la fonction publique d'État et l'hospitalière, même si dans l'ensemble les fonctionnaires éprouvent un certain bonheur à faire ce qu'ils font. Plus de 70 % des répondants sont très ou assez satisfaits de leur situation professionnelle, contre 61 % dans le secteur privé, selon le baromètre 2011 Edenred/Ipsos sur le bien-être et l'implication des agents au travail. Une enquête Cegos sur le climat social 2011 conclut à la même tendance (les fonctionnaires sont satisfaits de leur emploi à 63 %) même si cette satisfaction est en net recul par rapport à 2009.


Satisfaits de leur situation professionnelle, moins confiants pour l'avenir

La satisfaction sur la situation professionnelle grandit dans la FPT, mais reste inférieure de 5 points au taux exprimé pour la FPH (75 % de satisfaction). « Dans l'hospitalière, l'attachement au travail est très important, éclaire Jean-Rémy Bitaud, membre du Syndicat des managers publics de santé (SMPS), car le poids de la relation affective au travail est très forte : les soignants traitent, soignent et accompagnent les patients. Le secteur est plus dans la relation, moins dans la technique. Le métier est lié au patient ».
Les fonctionnaires de la FPE et de la FPH jugent moins bien la qualité de vie au travail sur les deux dernières années, au contraire des territoriaux pour qui elle s'est avérée meilleure en 2011. Cette tendance peut s'expliquer sur le terrain par « les efforts de modernisation des équipements, des outils, d'amélioration des conditions matérielles au travail (ergonomie des postes de travail, des locaux, informatisation, etc.), selon Christophe Noël, DGA délégué et directeur des emplois et des compétences à la mairie de Lille (Nord). Les agents se sentent plus considérés ».
La note de 6,4 sur 10 annoncée par le baromètre Edenred/Ipsos pour exprimer la qualité de vie au travail dans la FPT fait cependant réagir Jean-Dominique Poncet, DGA en charge du pôle ressources de la ville de Vénissieux (Rhône) : « C'est un bon niveau. Mais j'aurais tendance à dire que nous sommes au-dessus. Les logiques de compression de personnel ne sont pas encore arrivées d'une manière très importante dans nos collectivités. Dans la FPT, il y a un confort de vie au travail, je parle bien de confort et non de qualité, qui fait que ça fonctionne plutôt bien. Nous ne sommes pas encore passés par une forme de RGPP locale. Je pense qu'on vit bien ».
Une impression que confirme le baromètre Edenred/Ipsos. Le niveau de stress dans la FPT serait même moindre que dans les autres fonctions publiques et le privé. Il y serait aussi équivalent aux années précédentes, alors qu'il serait légèrement en hausse ailleurs. La situation locale jouerait alors beaucoup. « C'est plus le management qui peut générer de l'insatisfaction et du stress au travail qu'autre chose. Peut-être que la popularisation des questions liées au harcèlement au travail et aux risques psychosociaux peut avoir un effet de réduction de stress, imagine Jean-Dominique Poncet. Nous avons par exemple eu une situation complexe dans un équipement de la ville. On a lancé un audit interne et, un an après, on se rend compte que la question du stress se résorbe progressivement, l'intérêt au travail revient. Quand on est dans des situations de crise ou de multiplication du droit d'alerte, la façon dont on s'en préoccupe au niveau de la collectivité a un effet. Avoir un lieu où on discute, où on agit, où on régule, ne règle pas tout mais ça doit y contribuer un peu. » Autre piste avancée par Christophe Noël : les collectivités sont à mi-mandat, ce qui allégerait la pression...
Toutefois, la crise n'épargne personne et a aussi produit ses effets en 2011 dans les collectivités. Comme dans la FPE, les perceptions de l'environnement de travail s'y sont dégradées. Seule la FPH a curieusement échappé au phénomène.
La confiance dans l'avenir s'érode partout, dans le public comme dans le privé. Mais c'est bien dans la FPT que cette tendance apparaît la plus forte avec une régression de 9 points, selon le baromètre Edenred/Ipsos. Le degré de confiance dans l'avenir de l'administration a baissé de 6 points dans la FPE, et de seulement 2 points dans l'hospitalière et le secteur privé. Pour Cegos, seuls 36 % des agents des trois fonctions publiques auraient confiance dans l'avenir de leur administration... « La FPT ne constitue pas une exception, elle montre aussi des signes de fragilité. Mais le niveau de confiance dans l'avenir y était aussi plus haut ce qui peut expliquer que l'effet y est plus fort. Le niveau de confiance dans l'avenir de l'administration y reste toutefois plus élevé que dans les autres fonctions publiques », détaille Magali Delagrange, directeur du développement secteur public chez Edenred.


La reconnaissance plus que le salaire

À l'instar des salariés du privé et des agents hospitaliers, les territoriaux s'inquiètent pour leur niveau de salaire et leur pouvoir d'achat. Toujours importante les années passées, cette préoccupation est devenue plus prégnante en 2011 (les fonctionnaires d'État semblent plus satisfaits sur ce sujet). Selon le baromètre Edenred/Ipsos, 60 % à 70 % des fonctionnaires comme des salariés du privé ne sont pas satisfaits de leur pouvoir d'achat. « Nous sommes aujourd'hui confrontés à des problématiques de pauvreté, de surendettement, de stress qui n'existaient pas il y a dix ans encore, acquiesce Stéphane Le Ho, DGS de la communauté d'agglomération Est Ensemble (Seine-Saint-Denis). On a les mêmes problématiques que dans les entreprises ! »
Mais lorsqu'on demande aux agents publics quel montant de rémunération ils souhaiteraient avoir en plus, les prétentions sont moindres en 2011 qu'en 2010. « Quand on nous dit que le point d'indice est bloqué jusqu'en 2013, cela peut être un élément d'explication. Les agents connaissent les contraintes des collectivités pour boucler leurs budgets. Il y a une forme d'acceptation de la situation », analyse Jean-Dominique Poncet.
Dans l'étude Cegos, seuls « 30 % des salariés du secteur public sont satisfaits du système de rémunération ». Et 52 % des salariés du secteur public seraient même favorables à la mise en place de la prime au mérite, tandis que 57 % seraient favorables à l'intéressement collectif.
Malgré ces tendances, pour mieux vivre au travail, les fonctionnaires des trois fonctions publiques souhaiteraient davantage de reconnaissance et de considération. Dans leurs réponses spontanées au baromètre Edenred/Ipsos, ils font passer cela avant même le besoin d'un salaire revalorisé, à l'inverse du secteur privé.
Une vraie différence que confirme le terrain. Jean-Dominique Poncet y voit « une sorte de fatalisme par rapport au salaire qui doit être compensé par autre chose ». Christophe Noël l'explique par « la très forte conscience du statut et des contraintes budgétaires qui pèsent sur les collectivités. Elles n'ont pas toute liberté pour augmenter les salaires. Et cela est bien difficile quand il y a gel du point d'indice. Les fonctionnaires sont persuadés de l'intérêt général et sont attachés à cela mais ils ont besoin d'une reconnaissance ». Stéphane Le Ho trouve ces résultats « logiques. On va rarement dans la fonction publique pour le salaire. Mais l'utilité sociale y est fortement développée, ce qui est cohérent avec le désir de reconnaissance qui est lié à ce sentiment. Et puis pour mobiliser les équipes, il faut avoir un minimum de considération et de reconnaissance pour elles. Or, la situation est aujourd'hui compliquée dans les collectivités, chacun fait comme il peut. Quand on s'investit, le sentiment d'avoir besoin de reconnaissance se durcit peut-être ». À l'hôpital, l'implication humaine au métier intensifie ce besoin de reconnaissance. « Les agents acceptent un salaire moindre que dans le privé à la condition d'avoir de la considération. C'est ce qui caractérise l'engagement hospitalier. Le poids humain, la charge affective y sont tellement importants », explique Jean-Rémy Bitaud.
Les fonctionnaires se sentent impliqués dans leur travail à plus de 96 % des répondants (98 % à l'hôpital). Mais ce sentiment est de moins en moins vrai : le baromètre Edenred/Ipsos montre que le degré d'implication diminue partout dans la fonction publique. Un recul que confirme l'étude Cegos. La motivation, elle, s'émousse aussi peu à peu.
Les agents territoriaux comme les fonctionnaires de l'État souffrent de plus en plus d'un manque de reconnaissance et se montrent de moins en moins satisfaits de celle qu'on leur accorde. Or, la première source de démotivation dans les trois fonctions publiques -
« depuis plusieurs années déjà » fait remarquer Magali Delagrange - est le manque de reconnaissance pour 27 % des réponses, devant la charge de travail (15 % des réponses), une rémunération trop faible (13 %) et le manque de moyens (12 %), selon le baromètre Edenred/Ipsos.
« Une nouveauté en 2011, relève-t-elle, la charge de travail et le manque de moyens sont des raisons qui ont été davantage avancées dans la fonction publique pour expliquer la démotivation par rapport aux années précédentes. On suppose que les réformes ont produit des effets ». Pour Jean-Dominique Poncet, il existe « une corrélation par rapport à la hausse de la charge de travail. Les agents veulent être plus reconnus ».
Contrairement aux salariés du secteur privé, les agents des trois fonctions publiques pensent que leurs compétences sont de moins en moins bien utilisées. Ce sentiment apparaît plus prononcé chez les territoriaux, ce qui étonne Stéphane Le Ho, « alors que les pouvoirs des collectivités se sont accrus ». Mais contrairement aux autres fonctionnaires, les agents territoriaux s'estiment plus satisfaits des possibilités de formation qu'ils ont dans la FPT, même s'ils doutent de leurs perspectives d'évolution. « Le développement professionnel participe à la reconnaissance qui est accordée aux agents, estime Christophe Noël. Le décalage entre la satisfaction quant aux possibilités de formation et l'utilisation des compétences est curieux car en contradiction. Cela s'explique peut-être par un manque de moyens ou une frustration par rapport aux compétences des collectivités. Leur attractivité vis-à-vis des candidats à un recrutement est basée non pas sur le salaire mais sur le champ de compétences larges qu'elles couvrent : elles ont beaucoup de projets, traitent de grand nombre de sujets. Peut-être qu'en raison des contraintes budgétaires, elles resserrent leurs compétences pour revenir à leur c½ur de métier ». Et font moins appel aux savoirs des agents.


Un avertissement pour le management

Les études mettent à mal le management. Tous les indicateurs de confiance sont à la baisse. « C'est un vrai signal d'alerte. Il faut être attentif à cette fragilisation de la relation à l'employeur », reconnaît Stéphane Le Ho. Seuls 39 % des salariés interrogés contre 55 % en 2009 comprennent les grandes orientations stratégiques de leur organisation pour Cegos... Les fonctionnaires territoriaux sont ceux qui y adhéreraient le plus (36 % contre 19 % dans la FPE et 31 % dans la FPH).
Dans toute la fonction publique comme dans le privé, le degré de confiance accordé aux décisions prises par la direction de l'organisation dégringole dans le baromètre Edenred/Ipsos : moins 9 points dans la FPT, moins 6 points dans la FPE, moins 3 points dans le privé. Le secteur hospitalier remporte la palme avec une régression de 17 points ! Jean-Rémy Bitaud explique cette perte de confiance (confirmée par une étude de 2011 sur les cadres hospitaliers menée pour le compte du SMPS) par le manque de reconnaissance des professionnels de santé par le ministère de tutelle. « Ils sont seulement 7 % à se satisfaire du regard porté sur eux par le ministère. L'année a été difficile : les négociations statutaires n'ont pas abouti. La réduction des coûts se traduit à l'hôpital par une baisse de l'emploi puisque 70 % des dépenses d'un établissement concernent le personnel », éclaire-t-il. Autre explication pour Magali Delagrange : « Les agents se sentent moins bien reconnus, donc ils peuvent être plus critiques sur les principales qualités que l'on attend d'un responsable. Les agents bougent moins, le niveau d'attente est plus élevé, l'½il est plus aiguisé à l'égard du management ».
Le contexte n'aide pas. « À un moment donné, il y a une incompréhension entre les décisions qui sont prises et la manière dont on les reçoit. Peut-être aussi dans la qualité de l'encadrement. Nous sommes dans une situation de tensions budgétaires, de tensions sociales et autres à une période de mutation pour les collectivités, de la réforme de la TP, de l'intercommunalité. Cela génère du stress à tout le monde : élus, équipes de direction et agents, pense Stéphane Le Ho. Toute l'échelle est impactée. Il n'y a plus beaucoup de différences entre la fonction publique et les entreprises. Il faut accompagner ces changements qui génèrent de l'incertitude et c'est compliqué pour l'encadrement. Les agents le ressentent. Cela oblige l'encadrement à être attentif, à expliquer, à rassurer ».


Les managers publics en prennent pour leur grade

Le personnel hospitalier et les salariés du privé restent toutefois les plus optimistes quant à leur avenir au sein de l'administration/entreprise. La territoriale et la FPE perdent, elles, 5 points de confiance en 2011...
Les managers publics en prennent pour leur grade dans le baromètre Edenred/Ipsos. Le regard sur leur performance managériale se durcit plus vivement que dans le privé. En 2011, les fonctionnaires se sont montrés déçus par la capacité de leurs managers à donner confiance à leurs agents, à organiser le travail de leur équipe. Ils pensent de plus en plus que les managers ne donnent pas l'exemple... Le souhait d'une meilleure performance managériale est cité en troisième position, après la reconnaissance et le salaire, dans la liste des critères qui aideraient à mieux vivre au travail. L'étude Cegos confirme la tendance et ajoute que « les managers de la fonction publique territoriale et ceux de la fonction publique hospitalière semblent plus présents » (respectivement 44 % et 47 % d'entre eux donnent un retour régulier à leurs collaborateurs). Mais l'alerte est bien là. « C'est inquiétant, admet Jean-Dominique Poncet. Ces résultats montrent toute la complexité du métier de manager. Or les collectivités font de plus en plus appel à des experts, des techniciens sur des enjeux stratégiques. Mais ces personnes ne sont pas forcément managers. Il faut se remettre en cause, cela d'autant qu'il y a une accélération du temps : il faut toujours faire vite avec moins de réunions d'arbitrage, de réunions d'équipes qui sont autant de temps de régulation ». Cet avertissement fait dire à Stéphane Le Ho qu'il « faudra sûrement renforcer les formations au management car on attend du manager qu'il accompagne, qu'il soit attentif et à l'écoute. On peut vite être isolé à cette fonction. Il faut essayer aussi de continuer à voir les gens sur le terrain ».


Envie de quitter votre collectivité ?

Est-ce en raison du jugement pour le moins sévère sur leur manager que les fonctionnaires territoriaux auraient davantage envie de quitter leur administration, tandis que les autres fonctionnaires se montrent plus stables dans leurs réponses ? Les niveaux de la FPT et la FPH quant aux désirs de mobilité « se rapprochent de ce qu'il se passe dans les entreprises, complète Magali Delagrange. Les résultats des catégories A sont aussi plus forts ». Christophe Noël veut analyser le phénomène sous un angle positif : « Il est fini le temps où l'on restait toute sa vie dans la même administration, il y a nécessité de voir autre chose, ce qui est plutôt bon ».
Pourtant, l'optimisme pour retrouver un emploi n'est pas de mise. 65 % des fonctionnaires territoriaux interrogés estiment que la tâche ne serait pas facile... Un score « étonnant et impressionnant » pour Stéphane Le Ho. « Les gens ne se sentent pas, dans la FPT, à l'abri des tendances présentes dans la société française. On n'y est pas dans une bulle. Les tensions y sont aussi de plus en plus fortes ».


L'enquête de l'Observatoire Cegos

Enquête de l'Observatoire Cegos sur le climat social menée du 25 août au 15 septembre 2011 auprès d'un échantillon représentatif de la population française au travail se composant de 1 300 personnes en activité professionnelle, issues des secteurs privé et public et de 466 directeurs ou responsables des ressources humaines. Méthode des quotas au regard de l'âge, du sexe, de la catégorie socioprofessionnelle, ainsi qu'en termes de taille et d'activité des organisations et des entreprises.


Le Baromètre Edenred/Ipsos

L'étude sur le bien-être et l'implication des agents au travail a été effectuée du 21 janvier au 11 février 2011 sur un échantillon représentatif de 4 000 salariés français (âgés de 18 ans et plus, hors artisans, commerçants, professions libérales et agriculteurs/exploitants) dont 996 travaillant dans la fonction publique. Les résultats ont été redressés pour assurer la représentativité statistique de l'échantillon. Sont présentées dans le baromètre les réponses des agents issus de la fonction publique territoriale (332 répondants)/ d'État (468)/ hospitalière (196) et des salariés français travaillant en entreprises (publiques et privées : 3004 répondants).


Deux autres enquêtes en cours

Signe d'une préoccupation grandissante du monde territorial, deux autres enquêtes sur la relation des territoriaux à leur travail sont en cours de publication.

- La Gazette des communes, en partenariat avec le cabinet Pragma, réalise son premier baromètre sur la satisfaction et le bien-être au travail. Cette enquête, une première du genre par la teneur des questions posées et par l'amplitude de sa diffusion, vise à disposer d'une mesure objective des opinions et des attentes des agents de la fonction publique territoriale sur les motifs de la satisfaction au travail, la qualité du cadre de travail, la mission de service public et la confiance dans l'avenir.
Les résultats seront présentés dans le magazine et sur le site de la Gazette. Vous pouvez participer à l'enquête sur le site : www.lagazettedescommunes.com

- « Dans la peau des territoriaux ». Mieux comprendre le rapport au travail, les valeurs et les attentes des agents et notamment des managers territoriaux : c'est l'ambition de l'étude sociologique basée sur des entretiens individuels approfondis et réalisée par l'Observatoire social territorial de la Mutuelle nationale territoriale (MNT). Les résultats de l'enquête seront prochainement publiés et disponibles sur le site de l'OST :
www.mnt.fr/agir/observatoire-social-territorial


DocDoc

À découvrir notre dossier thématique :
« Souffrance au travail : si on s'en préoccupait ? »
À lire
« Apprenons à manager l'énergie humaine », La Lettre du cadre territorial, n° 430, 15 octobre 2011.